Le 1er mars, j’ai été officiellement nommé vice-président du Groupe d’Étude Vin, Vigne et Œnologie. Ce groupe réunit les parlementaires des régions viticoles de France pour travailler de manière approfondie sur les défis et les perspectives de la viticulture française.
J’y représente les intérêts et les spécificités du vignoble alsacien. Convaincu de l’excellence de nos modèles de production alsaciens je compte en faire un exemple à suivre à l’échelle nationale.
Nos vignerons comme l’ensemble de nos agriculteurs doivent faire face à des difficultés multiples. La crise de l’eau, déclinaison majeure des bouleversements climatiques en cours fait partie de ces enjeux essentiels, parmi l’ensemble des transitions. Les questions administratives et fiscales auxquelles nous devons apporter des réponses ; l’attractivité des professions viticoles, la recherche d’une main d’œuvre adaptée, la formation et la transmission tant du foncier que des exploitations sont des préoccupations essentielles de nos viticulteurs auxquelles je travaille depuis quelques mois et que je compte désormais partager avec mes collègues du Groupe d’Étude.
Nos terroirs alsaciens ont énormément d’atouts. Le tourisme oenologique progresse, je m’implique pour qu’il puisse s’appuyer d’avantage sur une notoriété nouvelle que méritent à la fois nos crus qui comptent parmi les meilleurs du monde et nos vignerons sans nul doute les plus créatifs et passionnés de France.
